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Lors de la conversion, la recherche d'un débouché en filière biologique pour les mâles a conduit ces élevages à produire des veaux. La taille du troupeau est modeste pour satisfaire le travail d'astreinte de la tétée.
Le fonctionnement et le degré de maîtrise du système avant la conversion vont déterminer le degré de difficulté pour passer en « bio ». Ainsi le niveau d’intensification et d’autonomie alimentaire sont déterminants.
L'agriculture biologique est en plein essor et intéresse de plus en plus d'éleveurs. Ce dossier vise à présenter succinctement l'agriculture biologique et son intérêt en production de bovins viande.
L’utilisation de l’épeautre, récolté en épillets, pour la complémentation des ruminants, amène des interrogations de la profession sur la valeur nutritive de cette ressource, non référencée dans les tables INRA.
Bénéficiant des observations réalisées dans une centaine de fermes des Réseaux d‘élevage des Pays de la Loire‐Deux-Sèvres, ce document réactualise les résultats économiques de 14 systèmes de production de la région pour 2016.
L’herbe constitue le principal fourrage des élevages de bovins-ovins-caprins de notre région. Le travail régional réalisé par les Chambres d’Agriculture et les CUMA dans le cadre du dossier PEREL (pérennisation de l’élevage) permet d’objectiver les coûts de production des différents fourrages régionaux. Connaitre son réel coût...
Dans la région Pays de la Loire, les implantations de prairies sont classiquement réalisées en fin d'été après récolte de la céréale, ou sous couvert d'une céréale de printemps.
La France a été touchée par plusieurs épizooties d’influenza aviaire lors des hivers 2015 et 2016. En plus des conséquences dramatiques pour ces éleveurs, c’est l’économie de toute la filière avicole française qui a été ébranlée par cet épisode qui survient près de 10 ans après le précédent.